
Tout commence avec une idée. Celle de Simon Bonte, entrepreneur convaincu que la France devait retrouver une vitrine numérique digne de son savoir-faire. En 2020, il fonde La Place du Coq. Le nom s’impose de lui-même. Le coq, fier et debout, devient le symbole d’une plateforme dédiée au “fabriqué en France”. La vision est claire. Créer un espace où se rencontrent artisans, créateurs et consommateurs. Mettre en avant des produits authentiques, souvent labellisés. Redonner leur place aux métiers qui font l’âme des territoires. La Place du Coq naît ainsi dans un contexte dominé par les géants internationaux. Mais, dès ses premiers pas, elle choisit un chemin différent. Celui de l’exigence. Celui de la qualité. Celui de l’identité.
Origine et mission

Tout commence avec une idée. Une idée simple. Redonner au Made in France la place qu’il mérite. Car oui, la France possède des trésors de savoir-faire. Encore faut-il leur offrir une vitrine digne d’eux. Ainsi naît La Place du Coq, symbole de fierté et d’authenticité d’un pays qui croit encore en ses artisans. L’ambition est claire : rassembler, montrer, transmettre. Et ainsi faire se rencontrer ceux qui créent et ceux qui veulent consommer autrement.
En 2024, Thibaut Hollebecq prend le relais. Son arrivée marque un tournant. Avec lui, la plateforme change de rythme. Elle s’affine, se concentre, se renforce. À ses côtés, Suyai Colacray apporte son expertise. Ensemble, ils dessinent un futur plus ambitieux. Le passage de témoin est fluide. Simon a lancé la flamme. Thibaut et son équipe la transforment en brasier.
Pourquoi choisir le Made in France

Acheter français, c’est un geste. Mais c’est aussi une conviction. D’abord, parce que cela protège les métiers, les gestes, les traditions. Ensuite, parce que cela soutient l’économie locale et rémunère justement les producteurs. Enfin, parce que cela réduit les distances, et donc l’empreinte écologique. En somme, consommer français, c’est choisir la qualité. C’est défendre une éthique. C’est donner du sens à l’acte d’achat.
Le développement

D’abord, La Place du Coq ressemble à une mosaïque. Plusieurs dizaines de marques. Des centaines de références. Mais la diversité, parfois, brouille le message. Thibaut choisit alors une nouvelle voie. Il resserre la sélection. Il met en avant des univers clairs : maison, décoration, art de vivre. Les références passent de nombreuses à choisies, de dispersées à cohérentes. Les chiffres suivent. En 2024, plus de 200 000 euros de chiffre d’affaires. Près de 1 000 références, une cinquantaine de marques. Résultat : le trafic augmente, l’expérience client s’améliore et a notoriété se renforce. Et pourtant, tout reste mesuré. Le mot d’ordre n’est pas l’expansion à tout prix. Mais la cohérence avec une croissance lente, mais sûre.
La volonté

Derrière cette marketplace, une volonté commune persiste. Celle de donner une place au made in France dans le commerce en ligne.
Simon l’avait voulu. Thibaut le poursuit. Il ne s’agit pas seulement de vendre. Mais de défendre des savoir-faire, des labels, des gestes.
La volonté est aussi éthique. Il faut savoir refuser la braderie, protéger la juste rémunération, promouvoir des pratiques durables en favorisant des emballages responsables et en offrant au client plus qu’un produit : une histoire.
De plus, La Place du Coq ne veut pas se couper du réel. Elle cherche à rapprocher les territoires. L’objectif est de donner aux petits producteurs l’accès à une vitrine nationale et offrir aussi aux clients une rencontre avec des objets porteurs de sens.
Les ambitions

L’avenir, déjà, se dessine. À court terme, il s’agit d’élargir l’offre mais sans perdre l’âme. Atteindre cent marques au maximum est un des objectifs tout en préservant une sélection exigeante.
À moyen terme, le regard se tourne aussi vers l’étranger car la France séduit. Les produits labellisés attirent déjà une clientèle internationale. En 2026, La Place du Coq veut franchir la frontière et porter le coq français au-delà des mers.
À la même échéance, un projet plus concret prend forme : un pop-up store physique, un lieu éphémère, mais réel où les clients toucheront, sentiront, verront les produits. Un pont entre le digital et la pierre.
Enfin, l’ambition est technologique. Améliorer le site, enrichir l’expérience et ainsi utiliser le numérique pour créer des parcours personnalisés pour faire de chaque visite un voyage.
Comment consommer mieux?

La Place du Coq rend ce choix facile. D’un côté, une sélection pointue avec des marques choisies ainsi que des univers clairs : maison, décoration, art de vivre. De l’autre, une exigence et une attention portée aux labels, aux matériaux, aux pratiques. Ainsi, chaque produit a une histoire. Chaque commande devient un engagement, chaque achat participe ainsi à un cercle plus vertueux.
Un récit collectif, une marketplace engagée et surtout une promesse pour demain

La Place du Coq n’est pas qu’une boutique en ligne. C’est aussi une communauté où les artisans racontent leurs histoires et les clients des ambassadeurs. Car cette marketplace incarne plus qu’un projet commercial. Elle porte un idéal, celui d’une France qui croit en son patrimoine, celui d’une économie plus juste, plus locale, plus durable.
Ici, pas de course effrénée. Pas de quantité sans fin. Mais un fil conducteur : la cohérence. La Place du Coq choisit peu, mais choisit bien. Elle refuse la logique de la braderie protégeant ainsi la juste valeur du travail. Et surtout, elle crée du lien. Entre celui qui fabrique et celui qui achète. Entre un territoire et un foyer. Entre une histoire et un usage.
Demain, La Place du Coq veut aller plus loin. D’abord, en accueillant de nouvelles marques. Mais sans jamais perdre son âme. Puis, en portant l’image du Made in France hors de nos frontières. Car la France séduit et ses labels attirent en rapprochant le digital du réel.

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